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Afin de pouvoir découvrir l’évolution des divertissements au cours du temps, la classe va être divisée en 4 groupes. Chaque groupe sera associé à une période historique donnée.

Tout d'abord, prenez connaissance de ce corpus documentaire. Vous allez ensuite devoir repérer dans ce recueil, les documents concernant votre époque.

Le but est de sélectionner les documents pertinents à notre question de recherche et de les réunir sur une page que vous aurez créée vous-même, portant le nom de votre période. Le blog sera ensuite accessible à toute la classe et nous permettra d’exposer chaque époque et ses loisirs.

Dans un premier temps, vous analyserez les documents et sélectionnerez les documents pertinents relatifs à votre période historique. Pour cela vous observerez quel est l'objet du document et à quelle période il correspond.

Vous inscrirez le numéro des documents pertinents sur vos feuilles élèves, à la page 9. Vous compléterez en suite le tableau de la carte d'identité en y précisant :
  • Le type du document ;
  • S’il s’agit d’une trace du passé ou d’un travail postérieur ;
  • S'il s'agit d’un document original ou d’un document reconstitué ;
  • S'il s'agit d’un témoin ou d’un spécialiste ;
  • S'il s'agit d’un fait ou d’une opinion.

Une fois que cela est fait, vous verrez qu'à chaque période correspond une série d’activités de loisir différentes. Répartissez-vous ces activités au sein du groupe.

Vous compléterez en suite le tableau de synthèse d'activé page 10 et le tableau de synthèse de période de la page 11.
REMARQUE : Il n’est pas toujours possible de remplir toutes les cases car il se peut que les documents ne donnent aucune information à ce sujet.

Doc 1

gravure des Jeux et sports populaires vers 1650
in Orbis sensualium pictus
SOURCE : https://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_du_sport_en_France#/media/File:Jeux_m%C3%A9di%C3%A9vaux.JPG
Les foires sont des moments de fêtes commerciales et marchandes davantage tournées vers unpublic d’artisans plus aisés et de petits bourgeois. Mais les gens de peu n’en sont pas exclus et participent aux réjouissances : jeux d’adresse ou de force, distribution de prix, banquets,déguisements, mascarades, charivaris et danses expriment le besoin de défoulement. Les excès sonttout aussi importants, mais les divertissements plus variés. Ainsi, les forains s’y déplacent, de même que les troupes de théâtre itinérantes, conteurs, chanteurs et joueurs d’instruments divers.


Damien ACCOULON, Loisirs Populaires et Évolution des Pratiques sous l’Ancien Régime(XVIe – XVIIIe s.), Université de Strabourg, Paris, p. 6

Doc 2

La promenade est un des éléments clefs pour qui veut comprendre les implications sociales des embellissements urbains des Temps modernes. Témoignant d’une sensibilité nouvelle portée à la nature et de l’ouverture progressive des villes sur la campagne environnante [...] Envisagée comme un lieu d’expression et d’interprétation des loisirs de la cour aux XVIIe et XVIIIe siècles, l’analyse de la promenade implique celle des principes d’urbanisation des activités aristocratiques et de la constitution de l’identité citadine d’un public élitiste. De fait, l’intitulé même de cette contribution exclut l’étude de la promenade du peuple. En France, le caractère public du jardin ne signifie pas non plus qu’il soit accessible à tous. Aux Tuileries, la présence de portes ou de grilles d’entrée, de fossés protecteurs, de portiers et de gardes assure une sélection des « citoyens qui se présentent sous des dehors honnêtes »

« Ce n’est pas qu’on ne puisse faire remonter à une antiquité reculée l’usage des promenades publiques […]. En France, il n’existait point, à proprement parler, de promenades publiques avant Louis XIV, sauf quelques plantations irrégulièrement alignées dans l’intérieur ou aux abords des grandes villes […] »
Adolphe Alphand et Alfred-Auguste Ernouf, L'art des jardins : parcs, jardins, promenades, Paris, 3e édition, 1886, p. 298.

Inspiré de Sandra PASCALIS, Vers une urbanisation des loisirs aristocratiques : la promenade urbaine comme lieu d’interprétation des loisirs de la cour dans la France des XVIIe et XVIIIe siècles, Presses universitaires François-Rabelais, Paris, 2005, pp. 45-60
Boulevard Saint Antoine, Paris
http://books.openedition.org/pufr/docannexe/image/617/img-2.jpg

Doc 3

http://jeuxvidéos.fr

Doc 4

Sorti au cinéma en 2011

Doc 5

Venu des pays d'Islam, le jeu d'échecs se diffuse vers l'Angleterre et l'Allemagne depuis la Scandinavie. C'est en commerçant avec les Turcs sur les bords de la mer Noire que les Scandinaves ont rapporté chez eux le jeu arabo-persan. 
Ainsi les premières pièces d'échecs apparues en Occident sont-elles musulmanes, c'est-à-dire stylisées, non figuratives. En effet, les docteurs de l'islam ont proscrit le culte des images dès 680, interdisant aux musulmans de représenter la figure humaine ou animale. Les échecs arabes forment donc des blocs géométriques, identifiables par leur forme et leur décor. Aux côtés de ces pièces stylisées, les Occidentaux fabriquent des pièces figurées, souvent de grandes dimensions et taillées dans une matière vivante et magique : l'ivoire.

SOURCE : in http://classes.bnf.fr/echecs/histoire/occident.htm

Doc 6

[A Athènes, au IVème siècle av. J.-C., sur une population totale estimée à 43 000 habitants, soit une estimation très haute], on peut penser raisonnablement qu'il y avait entre 200 000 et 250 000 esclaves, hommes, femmes et enfants, (...) soit presqu'un habitant sur deux (...).

D'après R. DESCAT, A Athènes, un habitant sur deux était esclave, in l'Histoire, n°280, octobre 2003, P. 41

Doc 7

Les bains publics ou étuves offraient toute une gamme de services. On y trouvait, évidemment, une piscine ; il y avait, en outre, des baignoires réservées au riches, d'autres aux pauvres, d'autres aux malades. Une pièce était aménagée pour la sudation - l'équivalent de nos saunas ; d'autres pièces pour la coiffure, l'épilation, le massage. Il y avait des lits pour se reposer et vivre les chansons d'amours. On y servait des collations, arrosées de vin, bien entendu. Des musiciens jouaient aux clients leurs airs préférés, dans une atmosphère de parfums et d'herbes aromatiques. Les amis s'y donnaient rendez-vous. On y célébrait perfois des noces. Bref, on s'y rendait davantage pour le plaisir que pour la propreté.

SOURCE : BLAIS, Martin, Sacré Moyen Âge, éditions Fides, 1997, pp. 86-93 de la version numérique

Doc 8

SOURCE :http://www.fr.lastminute.com/site/bon-plan/a-la-derniere-minute

Doc 9

Au XVIIème siècle, un nouveau style de vie apparaît dans les classes supérieures, avec un engouement  très marqué pour des divertissement différents de ceux pratiqués par le peuple, comme le jeu de paume. Les stations thermales deviennent ainsi les endroits de prédilection où les jeux d'argent, les promenades et les amours galantes vont attirer l'élite sociale de tout l'Europe


C'est au XVIIIème siècle que Spa connaît sa période la plus brillante. à la suite de la cure, en 1717, du tsar pierre-le-Grand qui aboutit à sa guérison, la ville devient le rendez-vous mondain de l'ensemble de l'aristocratie européenne, attirée davantage par les divertissements élitistes que l'on y découvrait que par les vertus thérapeutiques de ses eaux.


SOURCE : UNESCO, in http://whc.unesco.org/fr/listesindicatives/5360/ (Consulté en décembre 2012)
PENNINCKX C. et TAILLADE G., « Traces 2e année » Editions Plantyn, Waterloo, 2012, p. 53

Doc 10

Dès la fin du XVIIIème siècle, disette et maladie attaquent un monde trop plein que peine à nourrir une agriculture aux rendements décroissants. (...) Sans doute sous l'effet d'un climat plus humide et plus frais, à cause aussi de l'épuisement des sols mis en valeur depuis des siècles et insufisamment régénérés, les récoltes sont devenues médiocres. Sans doute, surtout, faut-il tenir compte de la surcharge démographique qu'impose la haute fécondité; (...) Dès le début du XIVème siècle, de 1315 à 1317, de terribles famines, à Bruges, à Ypres ou en Angleterre (1 Anglais sur 10 succombe), annonce les grincements de la machine.

Jacques MARSEILLE, Pestes, guerre et famine : les grands malheurs, in L'Histoire, n°239, janvier 2000, p. 44-45

Doc 11

Je vais vous dire que nous avons refusé de monter en ligne mardi soir, nous n'avons pas voulu marcher , nous nous sommes mis presque en grève, et beaucoup d'autres régiments ont fait comme nous (...). Ils nous prennent pour des bêtes, nous faire marcher comme cela et pas grand chose à manger ; ou on serait monté à l'attaque, et il en serait resté la moitié et on n'aurait pas avancé pour cela. (...) Peut-être que vous ne recevrez pas ma lettre, ils vont peut-être les ouvrir (...). Moi je m'en moque, j'en ai assez de leur guerre.

Lettre d'un poilu, soldat à la 10ème compagnie ddu 36ème régiment d'infanterie de l'armée française, 1917 (D'après J.-J. BECKER, Le première guerre Mondiale, Coll. "Sup Belin Histoire", Paris, Belin, 2003, p. 214

Doc 12

Après septs ans accomplis, lorsque le temps fut venu de le reprendre aux femmes, Robald confia Tristan à un sage maître, le bon écuyer Gorneval. Gorneval lui enseigna en peu d'années les arts qui conviennent aux barons. Il lui apprit à manier la lance, l'épée, l'écu et l'arc, à lancer des disques de pierre, à franchir d'un bond les plus larges fossés. Il lui apprit à détester tout mensonge et toute félonie*, à secourir les faibles, à tenir la foi donnée.
il lui apprit diverses manières de chant, le jeu de la harpe et l'art du veneur*. Et quand l'enfant chevauchait parmi les jeunes écuyers, on eût dit que son cheval, ses armes et lui ne formaient qu'un seul corps(...)
*félonie: traîtrise
*veneur: art de la chasse à courre

Le Roman de Tristant et Iseult, XIIème siècle (Adapté d'après J. BEDIER, Coll."10/18", Paris, Union générale des Editions, 1981, p. 19)

Doc 13

Lors des fêtes religieuse, les cités grecques ont l'habitude d'organiser des épreuves sportives. La victoire des athlètes est une offrande au dieu. Ces jeux sont dits "panhelléniques" car ils rassemblent toutes les citées.ils ont lieu dans quatre grands sanctuaires: Celui de Delphes en l'honneur d'Apollon, celui de l'isthme de Corinthe en l'honneur de Poséidon, celui d'Olympie et celui de Némée en l'honneur de Zeus. Le calendrier de ces grandes rencontres est strictement établi pour éviter qu'elles ne se déroule en même temps. Toutes les citées sont conviées à y participer. Le temps des jeux, elles instaurent entre elles une trêve sacrée. Les jeux les plus célèbres se déroule à Olympie. Ils ont été organisés pour la première fois en 776 av. J-C., puis tous les 4 ans, durant l'été.
[Extrait de Vaincre pour Zeus, Construire L'Histoire, Didier Hatier, Namur, 2009, p.240]

Doc 14

"Les vacances sont devenues une pratique courante mais cela n'a pas toujours été le cas. Il y a 75 ans, le parlement belge adoptait la loi qui accordait les premiers congés payés. Il s'agissait de six jours à l’époque; une petite semaine de vacances qui a marqué la société belge. [...] C’est ainsi que le 27 juin 1936, la Belgique suit l'exemple de la France : désormais, les vacances et les loisirs jusqu'alors réservés à la bourgeoisie, sont à la portée des ouvriers."

[Extrait d'un article de la RTBF, par Jean-François NOULET, publié le 28 Juin 2011]

Doc 15

Fête musicale, de Giovanni Paolo Panini.
Cette fête musicale fut donnée par le Cardinal de La Rochefoucault au théâtre Argentina de Rome le 15 Juillet 1747 à l'occasion du mariage du dauphin de France, 1747, Musée de Louvre, Paris

Doc 16

Jeux d'enfants, est une peinture à l'huile sur bois. C'est une des œuvres les plus connues de Pieter Bruegel datant de 1560
 C’est un des plus grands peintres flamands du XVIème siècle.
On l'appelle l'Ancien pour le distinguer de ses deux fils, peintres eux aussi. Vienne, Kunshistorishes Museum.
Le tableau montre plus de 250 enfants en train de jouer à près de 84 jeux différents. Ils jouent avec des bouts de bois, d'os, des cerceaux et des tonneaux. Les jouets, fabriqués spécialement à l'usage des enfants, étaient rares au XVIème siècle.


La plupart des jeux sont donc des jeux de course ou des jeux ne nécessitant aucun accessoire tels que : faire des culbutes, jouer à saute-mouton, cachette courir ou colin-maillard…
Les jeux d'imitation, pour lesquels on n'avait besoin d'aucun jouet, étaient également très nombreux : on représentait un cortège nuptial, un baptême, une procession ou on jouait au magasin…
L'équitation était un sujet d'imitation typique pour le Moyen Age (étant donné qu’il s’agissait du moyen de transport de l’époque) : certains enfants sont assis sur une clôture, un fouet à la main, d'autres sont à califourchon sur le dos de leurs camarades et un individualiste chevauche un cheval en forme de bâton.
Source : www.enseignement.be/download.php?do_id=3222

Doc 17

« N’ayez jamais d’attachement pour personne. Faites le bonheur de vos sujets. Si vous êtes forcé de faire la guerre, mettez-vous à la tête de vos armées. Je finis par un des avis les plus importants : ne vous laissez pas gouverner ; soyez le maître ; n’ayez jamais de premier ministre ; écoutez votre conseil, mais décidez : Dieu, qui vous a fait roi, vous éclairera ».
Louis XIV, mémoire pour l’instruction d’un dauphin, XVII ème siècle

Doc 18

Les Romains disposent de nombreux jours de fêtes. Ces jours-là, la majorité de la population se rend au cirque ou au théâtre. Toutes les villes romaines possèdent leur propre équipement de loisir, c'est également le cas pour de nombreux villages. Certains de ces monuments sont de véritables marqueurs de la civilisation romaine.
Chaque ville est dotée d'un théâtre. Cet équipement se rencontre parfois dans certains villages romains mais le fait est moins fréquent. La ville romaine se doit également de posséder un amphithéâtre. Le cirque reste l'apanage des villes mais n'est pas l'équipement le plus courant. Il y a parfois des combats de gladiateurs ou des manœuvres militaires dans le cirque. Mais les spectacles les plus courants sont les courses de chars.
Certaines grandes cités possèdent également un stade aménagé pour les compétitions et démonstrations sportives.

Doc 19


Théâtre d’Épidaure (Grèce), IVe ou IIIe siècle av. J.-C., photographie de Fingalo, 2007


Les mots tragédie et comédie sont d'origine grecque, et le théâtre du XVIIe siècle s'inspire de celui de l'Antiquité. Pourtant, le sens et le lieu des représentations ont bien changé. Dans l'Antiquité en effet, la représentation théâtrale est un divertissement d'ordre religieux, une fête codifiée. On sacrifie aux dieux avant la représentation : à Apollon pour les tragédies et à Dionysos pour les comédies. Tragos désigne le sacrifice et komos, le cortège, le banquet.


SOURCE : http://lelivrescolaire.fr/1691/2_Les_origines_antiques_de_la_tragedie_architecture_de_theatres.html#Document=3392

Doc 20

Le départ pour la chasse au faucon. Miniature tirée du "De Arte venandi cum avibus" de Frédéric II de Hofenstaufen. Rédigé au XIIIème siécle, Paris.

Doc 21

Lecture de la tragédie de l'orphelin de la Chine de Voltaire
dans le salon de madame Geoffrin, Anicet LEMONNIER – 1812
Le tableau est célèbre. Commandé par Joséphine de Beauharnais, exposé en 1814, il fixe a posteriori la scène mondaine du Paris des Lumières (1715 - 1789). Elle n’en est pas moins totalement fictive, et même assez peu vraisemblable [Lough, 1992]. Le peintre a rassemblé dans le salon de madame Geoffrin, des ministres comme Turgot et Malesherbes, des figures de l’aristocratie comme le maréchal duc de Richelieu, des savants et des philosophes : Buffon, D’Alembert, Helvetius, Montesquieu, Turgot, Diderot, Quesnay, Rousseau, l’abbé Raynal, Marivaux… tous réunis sous le buste de Voltaire, dont l’acteur Lekain lit précisément une pièce, L’Orphelin de la Chine. Cette pièce, quelque peu oubliée de nos jours, fut représentée pour la première fois le 20 août 1755 à la Comédie-Française



Le concert de flûte de Frederic le Grand a Sans-Souci,

par
Adolph von Menzel, fin XVIIIème

Doc 22



Le Parc Disneyland ou Disneyland Park est un parc à thèmes de la Walt Disney Company situé en France, dans le secteur de Val d'Europe à Marne-la-Vallée en Seine-et-Marne, qui a ouvert ses portes le 12 avril 1992. Il fait partie du complexe de loisirs Disneyland Paris anciennement Euro Disney Resort.

Doc 23


Colisée construit à Velia (Rome) de 70 ap. J.-C. à 80 après J.-C

Un amphithéatre romain est un édifice public de forme ovale. L'arène centrale où se déroulaient des spectacles de gladiateurs (munera), de chasses (venationes), de batailles navales (naumachia) était entourée de gradins où prenait place le public.
Légende :
A= les esclaves, B= les affranchis, C= la plèbe, D= les chevaliers, E= les magistrats et les sénateurs

Doc 24

Tournois et joutes équestres
Enluminure d'une mêlée à cheval cette épreuve nommée
béhourd était particulièrement spectaculaire, elle se
déroulait le plus souvent dans un espace
ouvert et dans des enclos au XVe siècle.
Enluminure représentant une joute équestre
lors d’un tournoi du Moyen-Age,
fin XIIIème début XVIème,
Allemagne (Codex Manesse, 1320).
Le tournoi proprement dit était un combat par masses ou à la foule, comme dans une bataille véritable. Le cérémonial des tournois ne fut pas d'abord compliqué. Les Chevaliers simulaient de véritables batailles rangées
devant un public enthousiaste(y compris féminin).A l'origine, nobles et vilains pouvaient indistinctement prendre part aux tournois. Les fêtes de l'Epinette, à Lille, comportaient des exercices de ce genre et étaient organisées par les bourgeois de cette ville. On vit même, en Allemagne, des tournois auxquels les femmes participaient, à la fin du XIIIe siècle.

La joute équestre est l'une des plus célèbres épreuves des tournois de chevalerie. Elle consiste en une charge à la lance entre deux chevaliers au galop, face à face.

[Extrait de la brochure "L'Histoire de la joute équestre" de P. PREVOST, Fédération française médiévale, 2002]

Doc 25

Source : studio lenherr

Cette installation de bains publics froid et chaud du 1er siècle après Jésus Christ servait notamment aux gallo-romains pour leur hygiène corporelle. Parfois, des esclaves pouvaient y pratiquer des soins corporels. Les thermes servaient également à la vie sociale des citoyens du vicus. Ils y rencontraient des amis, y pratiquaient du sport ou de la gymnastique, discutaient de sujets divers, ils y philosophaient et certains y traitaient même des affaires.


http://www.arlon-is-on.be/fr/gallo.html